L’étalement des vacances scolaires réduit les bouchons sur les routes

Étude de Thomas Cook : raccourcir les vacances d’été rapporterait 91 millions d’euros à l’économie belge

Débuter les vacances d’été à une date différente en Flandre et en Wallonie réduirait significativement les embouteillages sur les routes. C’est la conclusion d’une étude du tour-opérateur Thomas Cook. À la veille du week-end le plus chargé des vacances, le tour-opérateur plaide pour des vacances d’été tout à la fois étalées et raccourcies. Une telle mesure rapporterait 91 millions d’euros à l’économie belge : routes moins encombrées, moins de stress, moins de burn-outs et plus de chiffre d’affaires pour le secteur horeca belge.
                                                                         
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Lors du week-end du 30 au 31 juillet, le grand exode des vacanciers sur les routes européennes atteindra sa vitesse de croisière. Les Belges, mais aussi les Néerlandais, les Allemands, les Français et les Suisses, prendront massivement le cap du Sud du continent en empruntant les autoroutes du soleil. Ils ne devraient pas échapper aux traditionnels bouchons de l’été. Le tour-opérateur Thomas Cook constate, dans une étude, qu’une meilleure répartition des vacances scolaires dans notre pays réduirait considérablement les embarras de circulation.

Nous avons analysé l’impact d’un nouveau calendrier des vacances pour l’année scolaire 2016-2017 sur l’économie belge. Il en ressort qu’il serait intéressant pour l’économie belge de raccourcir les vacances d’été de 9 à 7 semaines, de rallonger les vacances de la Toussaint d’une semaine et de créer une semaine de vacances supplémentaire en mai.
Koen van den Bosch, porte-parole de Thomas Cook

Un meilleur étalement des vacances : bénéfique pour tous les Belges

Thomas Cook propose ainsi, sur la base des conclusions de l’étude, un calendrier scolaire alternatif pour l’année scolaire 2016-2017. Le tour-opérateur y conserve le total actuel des 15 semaines de vacances scolaires mais propose de mieux les répartir : faire passer de 9 à 7 semaines les vacances d’été, de 1 à 2 semaines les vacances de la Toussaint et 1 semaine supplémentaire aux alentours de l’Ascension. Principal changement du nouveau calendrier des vacances : la Flandre et la Wallonie n’auraient plus que 3 semaines de vacances communes en été. Pour les vacances de la Toussaint rallongées, les Flamands et les Wallons n’auraient que 1 semaine de vacances en commun.

La Belge est, avec le Portugal, l’Islande et la Grèce, l’un des rares pays en Europe qui ne pratiquent pas l’étalement des vacances. Prenez, par exemple, les Pays-Bas : depuis 1986, les périodes de vacances sont étalées sur 3 régions différentes. Une meilleure répartition des vacances scolaires offre également de nombreux avantages en Belgique : moins d’embouteillages durant toute l’année, moins de stress, des enfants plus motivés à l’école, des camps d’été meilleur marché, davantage de jobs de vacances. Mais surtout : des vacances moins chères pour le Belge et moins d’absentéisme scolaire.
Koen van den Bosch

Avec le nouveau calendrier des vacances, l’économie belge gagnerait 91 millions d’euros

Les citoyens belges ne seraient pas les seuls à profiter d’une réforme des vacances scolaires. L’économie belge et les pouvoirs publics y ont tout intérêt également, selon l’étude de Thomas Cook. Un rapide calcul nous apprend qu’une modification du système des vacances rapporterait 91 millions d’euros à l’économie belge. Moins de stress et de burn-outs chez les enseignants signifierait plus de 14 millions d’euros d’économie en soins de santé. La réduction des embouteillages ferait gagner plus de 24 millions d’euros et des vacances mieux réparties assureraient un chiffre d’affaires supplémentaire pour le secteur de l’horeca belge à hauteur de 53 millions d’euros.

L’économie belge gagnerait 91 millions d’euros avec le nouveau calendrier des vacances. Des moyens que les pouvoirs publics pourraient réinvestir dans l’enseignement, les soins de santé, les crèches et l’emploi. Il vaut donc la peine d’examiner sérieusement la réforme des vacances scolaires actuelles.
Koen van den Bosch

À propos de l’étude

L’étude a été menée à la demande du tour-opérateur Thomas Cook par la Vlerick Business School sous la direction du Prof. Dr. Dirk Buyens entre 2014 et 2015. Les données nécessaires ont été collectées via une enquête en ligne conduite auprès du personnel enseignant. 991 participants ont répondu au questionnaire. 45 % des répondants sont actifs dans l’enseignement maternel et primaire, 55 % dans l’enseignement secondaire. En complément, l’étude s’est également intéressée à la vision de l’ensemble du secteur de l’enseignement : le département Enseignement de l’État fédéral, l’enseignement catholique et communautaire et d’autres pouvoirs organisateurs. Par ailleurs, l’étude a également interrogé différents secteurs afin d’évaluer correctement l’impact social et économique d’une réforme des vacances scolaires. Il s’agit entre autres du secteur de la mobilité, du tourisme, des soins de santé et de l’horeca belge.

A propos de Thomas Cook

Thomas Cook Belgique, avec ses marques Neckermann, Thomas Cook et Pegase, est l’un des leaders du secteur du tourisme en Belgique. Plus d’un million de vacanciers lui font confiance chaque année. Thomas Cook Belgique compte plus de 750 employés, et fait intégralement partie de Thomas Cook Group Plc, l’une des plus grandes entreprises du secteur du tourisme dans le monde, avec un chiffre d’affaires annuel de 7,8 milliards de livres sterling (30 septembre 2015). Le Groupe Thomas Cook compte 21 823 collaborateurs dans le monde entier. Le groupe est actif dans 15 pays, et, dans chacun de ces pays, se classe à la première ou à la deuxième place des entreprises qui réalisent le plus grand chiffre d’affaires. Les actions de Thomas Cook Group Plc sont cotées au London Stock Exchange (TCG)

Pour de plus amples informations : www.thomascook.be

Koen van den Bosch

Porte-parole, Thomas Cook Belgique

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